Contact : marie.carabistouilles@gmail.com
Il est parfois difficile de bien se connaître soi-même, alors quant à se présenter… par quel bout commencer?
Pour vous en dire un peu plus sur moi, je vais m’aider du questionnaire de Pivot découvert chez Moka, qui l’a elle-même découvert chez Madame Lit et Goran. A la suite des questions, vous pourrez lire les réponses de Pivot puis les miennes.
1. Votre mot préféré ?
Pivot : « Aujourd’hui » (avec une apostrophe au milieu).
Ma réponse : Jubjoter. (Je l’ai découvert récemment en lisant une interview de Bernard Werber. Jubjoter, c’est c’est émerger d’un rêve sans savoir la fin et y retourner pour connaître la suite.)
2. Le mot que vous détestez ?
Pivot : Un mauvais sentiment, décrit par un mauvais mot : « Concupiscence ».
Ma réponse : Un non-dit, des non-dits. (C’est un coup à moisir une relation, une famille.)
3. Votre drogue favorite ?
Pivot : La lecture des journaux en général, et de L’Équipe, en particulier.
Ma réponse : voyons, voyons…
4. Le son, le bruit que vous aimez ?
Pivot : Le son très discret des pages que je tourne en lisant un livre, ou le son aussi discret du stylo sur la feuille.
Ma réponse : le rire de mes enfants, #mèrepouleleretour. (J’aurais pu écrire aussi « écouter et regarder ma fille faire sa diva », mais comme la Castafiore, elle chante si faux… ^^)
5. Le son, le bruit que vous détestez ?
Pivot : Rien (Cette question a été oubliée lors de sa dernière émission Apostrophes)
Ma réponse : le bruit du silence gêné, pesant, parfois plein de reproches et de non-dits (encore eux) de personnes qui n’ont plus rien à se dire. Les soupirs d’ennui.
6. Votre juron, gros mot ou blasphème favori ?
Pivot : Oh ! Putain !, Oh ! putain !, Oh ! Putain ! (Toujours trois fois).
Ma réponse : Putain! (#copieuse) Avec la variante: putain de merde. Ou encore: putain de sa ***! #50nuancesdeputain
7. Homme ou femme pour illustrer un nouveau billet de banque ?
Pivot : Michel Bouquet dans L’Avare de Molière.
Ma réponse : Si je peux éviter les banques… Revenons aux monnaies locales ou au sel.
8. Le métier que vous n’auriez pas aimé faire ?
Pivot : Président de France Télévisions ou directeur d’une chaîne du service public.
Ma réponse : Le mien? Loin de connaître tous les métiers, mais la liste est déjà longue: tous ceux dont la mission est d’enfumer son prochain. #sicksadworld
9. La plante, l’arbre ou l’animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?
Pivot : J’aimerais bien être réincarné dans un cep de la Romanée Conti.
Ma réponse : la plante: un pissenlit. Je l’aime bien, non pas pour son nom qu’il doit à ses propriétés diurétiques, mais plus pour son surnom: dent-de-lion et pour sa fleur: un joli soleil jaune qui mue ensuite en délicates aigrettes, lesquelles s’envolent pour un ailleurs.
L’arbre: un pin. Pour ses pommes, pour son odeur… Et le reste.
L’animal: A l’instant où j’écris ces lignes, c’est la chanson du « SOS d’un terrien en détresse » qui me vient à l’esprit: « je voudrais bien être un oiseau » etc. « si c’était plus beau vu d’en-haut » etc. Mais non, même si j’adore écouter pépier les oiseaux (petit plaisir des aurores), les voir habiter mes arbres et murets, je ne voudrais pas en être un: je n’aime pas voler, je ne suis jamais aussi bien qu’au contact de la terre. Donc… ça ne répond pas à la question… Une louve. Oui, c’est ça. Le loup est un animal qui m’a toujours fascinée tant pour sa figure littéraire (des contes à J. London) que pour ce qu’il est vraiment (la vie d’une meute est riche d’enseignements). La louve est un peu différente du mâle, j’aime son côté protecteur et courageux, son caractère sauvage. J’aime son instinct maternel, j’aime l’idée de meute, de clan. J’aime son lien à la terre.
10. Si Dieu existe, qu’aimeriez-vous, après votre mort, l’entendre vous dire ?
Pivot : « Alors M. Pivot, (Oui parce que Dieu a d’abord parlé latin, hébreux, arabe, puis après il a parlé français. Maintenant il parle anglais, évidemment. Donc) Alors M. Pivot, how do you do ? Euh… Pas terrible… je… euh… I am sorry my God but I don’t speak English. Ah ! Mais c’est vrai vous ne parlez pas anglais. (Il parle français, évidemment, lui aussi…) Eh bien ! Vous avez toute l’éternité devant vous pour apprendre l’anglais. Et je vais vous donner un très bon professeur. S’il vous plaît, allez me chercher sir William. Shakespeare of course ! »
Ma réponse : Encore faut-il croire… Voltaire, à moi! Plus sérieusement, en admettant que Dieu existe et qu’il m’ouvre sa porte, alors j’aimerais qu’il me dise: « d’ici, tu auras beaucoup à faire et tu pourras encore veiller sur tes enfants ». (#jesuisbienunelouve)